INCERTAINS REGARDS

Section Théâtre Aix-Marseille Université


Der Ring Des Nibelungen, d’après Wagner | Jérôme Rigaut

lundi 2 juin 2014



Du mardi 6 au samedi 10 Mars

Mardi, Vendredi et Samedi - 20h30
Mercredi et Jeudi - 19h


Dans le cadre des ateliers de création d’Aix-Marseille Université

Quatre livrets d’opéra de Richard Wagner :
“L’Or du Rhin”, “La Walkyrie”, “Siegfried” et “Le Crépuscule des Dieux”
Mise en scène : Jérôme Rigaut
Avec des étudiants des cursus théâtre de l’Université

Durée prévue : 3h


LA DISTRIBUTION



— Assistants mise en scène : Blaise Jacquemin, Margot Panseri, Roxane Samperiz et Elsa Bouyeron
— Scénographie : Mélissa Conté et Nabila Rebiai
— Costumes : Tamara Poissonnier et Marie Pons
— Lumière : Charline Dereims
— Son : Sébastien Escudié
— Accessoiriste : Coline Tatoni
— Médiation/ Communication : Jonathan Rambach
— Crédit photo : Roxane Samperiz

Avec : Maëllis Cam, Laetitia Koehler, Nausicaa Dhomont, David Soriano, Marie Pons,
Benjamin Baudvin, Romane Pineau, Massimiliano Liberti, Enzo Strazullo, Franck Daumas, Frédéric Da Silva, Anaïs Pignol, Florian Bertaud, Tamara Poissonnier, Julia Pellissier, July Filippi, Camille Perrot, Garance Silve, Coline Tatoni,

Remerciements particuliers au Festival d’Aix-en-Provence et à la Société Projectis


LE PROJET

Pendant qu’Albérich, l’affreux nain, vole l’or du Rhin, le dieu Wotan a fait bâtir le Burg par les braves géants : il faudra les payer avec cet or volé… Wotan cherchera à récupérer (avant Alberich) cet or conservé par le dragon Fafner. Cependant, seul un héros pourra faire cet acte original : l’audacieux Siegfried qui continuera ensuite en conquérant la vaillante Walkyrie, Brünnhilde ; et bientôt, il voudra embrasser le monde entier… Mais au royaume de Gibich, Hagen est là. Hagen est le fils d’Alberich, l’affreux nain du début…

WOTAN : “Un seul pourrait faire ce qui m’est interdit : un héros indépendant de moi, sans savoir, sans directive, par besoin personnel, avec ses propres armes, qui accomplirait l’exploit ! Celui qui se battrait pour moi, contre moi, l’ennemi amical, comment le trouver ? Comment créer cet autre, distinct de moi, qui ferait de lui-même ma seule volonté ? Ô détresse des Dieux ! Honte sans nom ! Dégoût de ne trouver que moi seul dans toutes mes entreprises ! Et l’autre, que je désire, je ne le vois jamais : l’être libre doit se créer lui-même. Je ne modèle que des serfs… “